La praxéologie (de praxis) est une discipline qui se donne pour objet l'analyse de l'action humaine. Mais le terme a pris des sens différents depuis qu'il a été introduit par Alfred Espinas en 1890 et ses objectifs ont varié selon les théoriciens (la réflexion peut être orientée en vue d'intervenir sur des domaines d'action réelles ou elle peut être destinée à constituer une approche analytique ou une science de l'action).
Ainsi, il a été revendiqué plus tard, notamment, par l'économiste autrichien Ludwig von Mises (dans L'Action humaine, 1949) et le philosophe polonais Tadeusz Kotarbinski. Le philosophe français Éric Weil et le sociologue Pierre Bourdieu ont également employé le mot au sens d'une « théorie de la pratique ». Plus récemment, des approches psycho-sociologiques (Victor Alexandre) ou auto-pédagogique (Alexandre Lhotellier) ont privilégié une approche individuelle de la praxéologie. Le philosophe norvégien Gunnar Skirbekk a également proposé une approche nouvelle de la praxéologie inspirée des derniers écrits de Ludwig Wittgenstein.
Ainsi, il a été revendiqué plus tard, notamment, par l'économiste autrichien Ludwig von Mises (dans L'Action humaine, 1949) et le philosophe polonais Tadeusz Kotarbinski. Le philosophe français Éric Weil et le sociologue Pierre Bourdieu ont également employé le mot au sens d'une « théorie de la pratique ». Plus récemment, des approches psycho-sociologiques (Victor Alexandre) ou auto-pédagogique (Alexandre Lhotellier) ont privilégié une approche individuelle de la praxéologie. Le philosophe norvégien Gunnar Skirbekk a également proposé une approche nouvelle de la praxéologie inspirée des derniers écrits de Ludwig Wittgenstein.